Sitoi aussi tu n'aimes pas que les gens se mĂȘlent de ta vie!!!!! 305 J’aime. Y en a marre des gens qui se mĂȘlent de ta vie!!!!! Facebook. Adresse e-mail ou tĂ©lĂ©phone: Mot de passe: Informations de compte oubliĂ©es ? Accueil. À propos. Photos. CommunautĂ© . Voir plus de contenu de Si toi aussi tu n'aimes pas que les gens se mĂȘlent de ta vie!!!!! sur Facebook. Se

mĂȘler 1 mĂ©langer, brouiller, marier, fusionner, brasser, unir, embrouiller, joindre, fondre, associer, confondre, dĂ©ranger, combiner, arranger, incorporer [antonyme] sĂ©parer, ranger, dĂ©mĂȘler, trier 2 embrouiller, brouiller, mĂ©langer, confondre [antonyme] dĂ©mĂȘler, dĂ©brouiller, Ă©claircir 3 impliquer, associer, compromettre, incorporer [antonyme] omettre, excepter se mĂȘler emploi pronominal 4 s'ingĂ©rer, immiscer, insinuer [antonyme] dĂ©sunir, disjoindre mĂȘler de ce qui ne vous regarde pas mĂȘler de ce qui ne vous regarde pas verbe pronominal ĂȘtre indiscret mĂȘler les cartes v battre les cartes ne pas se mĂȘler de la vie des autres v occuper de ses oignons French Synonyms Dictionary mĂȘler 1 mettre ensemble diffĂ©rents Ă©lĂ©ments pour les unir 2 entremĂȘler, embrouiller se mĂȘler emploi pronominal French Definition Dictionary To add entries to your own vocabulary, become a member of Reverso community or login if you are already a member. It's easy and only takes a few seconds
Lesgens se trompent sur les Ă©lecteurs du FN car ils refusent de se sentir coupables. Les Ă©lecteurs du FN fachos sont une minoritĂ©. La majeure partie a Ă©tĂ© abandonnĂ©e sur le bord de la route par les partis traditionnels. La responsabilitĂ© des partis de droite et de gauche est considĂ©rable. → C'est l'Ă©tĂ©, les vacances, une pĂ©riode privilĂ©giĂ©e pour s'Ă©chapper, Ă©largir l'espace, s'ouvrir aux autres. C'est le temps des rencontres, thĂšme retenu cette annĂ©e par “TĂ©lĂ©rama” dans son numĂ©ro double d'aoĂ»t. L'occasion pour de vous conter au cours des prochains jours une multitude de rencontres, entre cinĂ©astes, Ă©crivains, musiciens, sportifs
 Un sujet Ă  contre-courant d'une Ă©poque dominĂ©e par l'individualisme, une tendance Ă  se replier dans des micro-milieux, comme l'explique le philosophe Alain Badiou dans l'entretien qu'il nous a accordĂ©. On aurait tort de ne voir dans le philosophe Alain Badiou que le militant politique – il a longtemps Ă©tĂ© maoĂŻste – ou le polĂ©miste – son opuscule De quoi Sarkozy est-il le nom ? Ă©d. Lignes, 2007 l'a fait connaĂźtre du grand public. Car, philosophe, mais aussi mathĂ©maticien, romancier, dramaturge, il est Ă©videmment avant tout homme de rencontres. La richesse de son parcours en tĂ©moigne. Elle lui a fait thĂ©oriser un bel Eloge de l'amour Ă©d. Flammarion, 2009, et trĂšs rĂ©cemment dĂ©battre avec Alain Finkielkraut dans L'Explication Ă©d. Lignes, 2010. Avec Alain Badiou, rencontrer ne va pas de soi. Mais est riche de promesses... Qu'est-ce qu'une rencontre ?C'est un Ă©lĂ©ment contingent, hasardeux, dans l'existence. Quelque chose vous arrive que rien dans les repĂšres que vous aviez dans le monde ne rendait nĂ©cessaire ou probable. Vous rencontrez quelqu'un que vous ne connaissiez pas et qui cependant vous frappe, vous attire, entre dans votre vie... Dans Eloge de l'amour, vous dites, en substance, qu'il n'y a pas de rencontre sans risque...Une rencontre vĂ©ritable assume toujours l'idĂ©e d'ĂȘtre le dĂ©but d'une possible aventure. On ne peut rĂ©clamer un contrat d'assurance avec celui qui a Ă©tĂ© rencontrĂ©. Puisque la rencontre est un Ă©lĂ©ment incalculable, si on tente de rĂ©duire cette insĂ©curitĂ©, on supprime la rencontre elle-mĂȘme, c'est-Ă -dire l'acceptation que quelqu'un entre dans votre vie, et quelqu'un au complet. C'est justement ce qui distingue la rencontre du libertinage. La rencontre, dites-vous aussi, suppose une dis ça des suites de la rencontre. Il faut bien qu'elle donne lieu Ă  inventions, consĂ©quences partagĂ©es. Et cette construction ne peut ĂȘtre laissĂ©e au pur hasard, parce qu'elle se compose de toute une sĂ©rie de dĂ©cisions. “La rencontre est un le commencement de quoi ?C'est lĂ  qu'on entre dans l' ou refuser ce qui vous arrive.” Mais dĂšs les prĂ©mices, la rencontre n'est pas pour vous une expĂ©rience...L'improbabilitĂ© la distingue d'une expĂ©rience ordinaire. Lorsque la rencontre vous arrive, que vous avez trĂšs fort le sentiment que ça vous arrive, il y a un phĂ©nomĂšne d'attirance ou de rĂ©pulsion – parfois les deux se mĂȘlent – pour ce qui vient perturber le rythme de votre existence. L'expĂ©rience, elle, peut parfaitement s'intĂ©grer dans les activitĂ©s professionnelles ou familiales, tandis que la rencontre est un commencement. Mais le commencement de quoi ? C'est lĂ  qu'on entre dans l'acceptation. Accepter ou refuser ce qui vous arrive. Pour prendre l'exemple de la rencontre amoureuse, tout le problĂšme est de savoir si on va la dĂ©clarer. On parle de dĂ©claration d'amour. Il faut que la rencontre ait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e, c'est-Ă -dire acceptĂ©e. C'est la condition pour qu'elle existe vraiment ?Oui. Une personne s'est trouvĂ©e lĂ  en mĂȘme temps que vous, vous avez Ă©changĂ© des regards, quelque chose s'est passĂ©. Mais tant que ça n'a pas Ă©tĂ© prononcĂ©, dĂ©clarĂ©, scellĂ©, la rencontre reste suspendue. Pourquoi la rencontre intĂ©resse-t-elle peu la philosophie ?Il y a Ă  cela une raison historique profonde. Si l'on simplifie, la philosophie a Ă©tĂ© partagĂ©e depuis ses origines en deux grandes orientations. L'orientation rationaliste, appuyĂ©e sur le dĂ©veloppement des sciences, qui propose qu'il y ait une explication Ă  chaque chose. Et l'orientation empiriste, qui propose que chaque chose renvoie Ă  une expĂ©rience. Donc, nous sommes pris entre une logique de la nĂ©cessitĂ© et une logique de l'expĂ©rience. Mais la rencontre, elle, n'est rĂ©ductible ni Ă  la rationalitĂ©, ni Ă  l'expĂ©rience, elle reprĂ©sente un Ă©lĂ©ment de contingence, et la philosophie n'aime pas beaucoup la contingence. Il nous faut donc accepter que se produisent dans l'existence des choses qui ne sont ni calculables ni expĂ©rimentĂ©es. Que quelque chose arrive... Justement, qu'est-ce qui arrive ?La nĂ©cessitĂ© de choisir. Vous ĂȘtes contraints, vous allez devoir accepter ce qui arrive ou vous allez l'Ă©loigner, l'obscurcir, le refuser. Kierkegaard, le philosophe danois du XIXe siĂšcle et le premier existentialiste, a vu ce lien entre le hasard et la nĂ©cessitĂ© d'un choix. Le miracle de la rencontre, c'est cette conjonction paradoxale entre l'extĂ©rieur pur – une personne que je rencontre – et l'intĂ©rioritĂ© pure – les consĂ©quences que je vais devoir en tirer de façon solitaire... Est-ce vraiment un miracle ? N'y a-t-il pas un savoir-faire de la rencontre, des gens plus habiles que d'autres Ă  rencontrer ?C'est le bord rationalisable » de la chose, dont les sites de rencontre tentent de faire une sorte de savoir-faire populaire. On ne s'engagerait dans la rencontre qu'avec la bonne personne, qu'avec celle qui va rĂ©duire au minimum la marge d'insĂ©curitĂ©. Mais s'agit-il de rencontres ? Le dragueur qui sait attirer l'attention sur lui n'assumera probablement que les consĂ©quences les plus minimes de la rencontre, qui risque de n'ĂȘtre qu'une expĂ©rience, d'ailleurs dissymĂ©trique. Celui qui a le savoir-faire contrĂŽle ; celui qui croyait ĂȘtre dans une rencontre et s'aperçoit qu'il est dans une expĂ©rience, souffre. “Il faut une disponibilitĂ© Ă  l'accueil,la vertu d'accepter que quelque chosearrive qu'on n'avait pas prĂ©vu.” Mais si l'on met de cĂŽtĂ© ce savoir-faire », ne faut-il pas des qualitĂ©s spĂ©ciales pour ĂȘtre heureux en rencontre ?Il faut une disponibilitĂ© Ă  l'accueil, donc un rapport fondamental de confiance. Et plutĂŽt, bizarrement, une facultĂ© passive, une sorte de vertu, appelons ça avec un vieux mot, la vertu d'accepter que quelque chose arrive qu'on n'avait pas prĂ©vu. Alain Badiou. TĂ©lĂ©rama Les diffĂ©rents types de rencontres – amoureuses, politiques, artistiques... - obĂ©issent-ils aux mĂȘmes rĂšgles ?Il y a des diffĂ©rences importantes. Par exemple, ma rencontre politique majeure est probablement plus la rencontre de situations collectives que d'individus. De mĂȘme, la rencontre artistique est le saisissement qu'un type d'imaginaire organisĂ© exerce sur vous. Mais l'Ă©lĂ©ment commun, c'est toujours ce sentiment que ça vous arrive ». Un roman qui vous transforme, vous devez faire avec ça, mĂȘme si plus tard vous changez de goĂ»t et vous vous demandez pourquoi ai-je aimĂ© ce livre quand j'Ă©tais jeune ? », exactement comme le hĂ©ros de Proust se demande pourquoi il a aimĂ© une femme qui n'est pas son genre »... Est-on dans une Ă©poque qui favorise la rencontre ou pas ?D'un cĂŽtĂ©, l'espace de la rencontre possible s'agrandit, Ă  cause des moyens de transport et de communication. De l'autre, cet Ă©largissement, comme toujours, se paie d'une dĂ©sintensification ». Les rencontres sont si faciles, si nombreuses, que l'intensitĂ© de changement qu'on peut accepter Ă  partir d'elles n'est plus la mĂȘme. On introduit un systĂšme de prĂ©caution je prends quelqu'un de suffisamment semblable Ă  moi pour espĂ©rer faire un chemin avec cette personne en restant exactement ce que je suis. C'est une tendance du monde contemporain d'introduire une fausse variĂ©tĂ© Ă  l'intĂ©rieur d'une grande permanence. “Je rĂȘve d'un monde oĂč les rencontres seraientmoins codĂ©es par des univers sociaux,professionnels, culturels, linguistiques.” Ce ne sont pas des rencontres ?Non, ce sont des consommations. Car le modĂšle cachĂ© de tout cela, c'est le marchĂ©. On vous propose quantitĂ© de produits qui changent tout le temps, mais c'est la mĂȘme chose. La consommation est rĂ©pĂ©titive par essence. Vous pouvez changer de modĂšle de femme, il n'est pas sĂ»r que vous ayez besoin pour cela d'une rencontre. Et la rencontre qui en reste au stade virtuel ?La distinction entre virtuel et rĂ©el ne m'a jamais paru capitale. AprĂšs tout, on peut avoir de grandes rencontres dans des formes d'absence, d'abstinence ou de virtualitĂ©. Il peut y avoir un amour qui reste dans une distance extrĂȘme d'avec lui-mĂȘme. HĂ©loise et AbĂ©lard, Tristan et Iseut, ce sont des mythes, mais ils indiquent que les inventions de la fidĂ©litĂ© amoureuse sont extrĂȘmement variĂ©es. On a des fidĂ©litĂ©s considĂ©rables dans l'absence comme on a des tromperies considĂ©rables dans la prĂ©sence. Est-il vrai qu'on pratique de plus en plus l'entre soi »?Il y a des segmentations sociales trĂšs rigides, mais qui ne datent pas d'aujourd'hui. Au XIXe siĂšcle, une jeune fille de la bourgeoisie ne rencontrait pas l'ouvrier du coin, elle ne le voyait mĂȘme pas. Mais il y a toujours des transgressions possibles. Les plus beaux romans de Conrad tournent autour de cela, de l'amour d'un aventurier anglais pour une Malaise, et la substance romanesque est de montrer son intensitĂ©, mĂȘme si les chances de rĂ©ussite sont minces. Je rĂȘve d'un monde oĂč les rencontres seraient moins codĂ©es par des univers sociaux, professionnels, culturels, linguistiques. Pour reprendre ce mot qui n'est plus Ă  la mode, par les barriĂšres de classe... “La rĂ©gression actuelle est spectaculaire. Elle tendĂ  constituer des micro-milieux, Ă  l'image de la sociĂ©tĂ©amĂ©ricaine, qui est une collection de ghettos.” Ne s'accentuent-elles pas ?Si. J'ai traversĂ© la fin des annĂ©es 60 et le milieu des annĂ©es 70, nous rencontrions Ă©normĂ©ment de gens que nous n'aurions jamais rencontrĂ©s ni avant, ni hĂ©las aprĂšs. Parler Ă  des gens qui n'avaient pas notre culture n'empĂȘchait absolument pas, alors, de faire des projets ensemble. La rĂ©gression actuelle est spectaculaire. Elle tend Ă  constituer, mĂȘme pas de grandes solidaritĂ©s de classe, mais des micro-milieux, une espĂšce de marqueterie, Ă  l'image de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine, qui est une collection de ghettos. En sommes-nous menacĂ©s en France ?La marchandise Ă©tant le moteur principal de la sociĂ©tĂ©, chacun est convoquĂ© devant le marchĂ©, comme sujet-consommateur. CorrĂ©lativement, les gens se replient sur des identitĂ©s, car ĂȘtre noyĂ© comme individu dans ce monde abstrait est un cauchemar d'errance sans fin. On se cramponne alors aux identitĂ©s familiales, provinciales, nationales, linguistiques, religieuses. Des identitĂ©s disponibles parce qu'elles viennent du fond des temps. C'est un monde Ă  l'opposĂ© de la rencontre, un monde du repli dĂ©fensif. Un monde de droite, alors que le monde de la rencontre serait un monde de gauche ?Je crains que l'audace de gauche n'aille pas trĂšs loin... Elle fait tant de concessions au repli identitaire, Ă  la privatisation de toute chose. Pour les gens du XIXe siĂšcle, Marx d'abord, l'internationalisme Ă©tait une notion clĂ©, qu'ils opposaient aux guerres, Ă  l'Ă©goĂŻsme national. “L'internationalisme me paraĂźt ĂȘtre une valeur capitale,si nous ne voulons pas ĂȘtre dĂ©vorĂ©spar des identitĂ©s agressives...” Mais cet internationalisme se construisait contre un ennemi, l'ennemi de classe...Bien sĂ»r ! Je ne suis pourtant pas fanatique de l'idĂ©e de classe qui avait une rigiditĂ© considĂ©rable ; mais l'internationalisme, plus encore qu'au XIXe siĂšcle, me paraĂźt ĂȘtre une valeur capitale, si nous ne voulons pas ĂȘtre dĂ©vorĂ©s par des identitĂ©s agressives... Alain Badiou. TĂ©lĂ©rama C'est intĂ©ressant de rencontrer un ennemi ?On a toujours intĂ©rĂȘt Ă  rendre publiques – et aussi rationnellement que possible – les contradictions. Surtout si l'adversaire est prĂȘt Ă  en dĂ©battre sans manier l'invective. C'est comme le théùtre, qui a une fonction didactique... Rencontrer Alain Finkielkraut comme vous l'avez fait pour le livre L'Explication, c'Ă©tait rencontrer un ennemi ? Non, car il ne pense pas, lui, que le monde tel qu'il va actuellement est excellent et qu'il doit continuer dans la mĂȘme voie. Il est au contraire passionnĂ©ment rattachĂ© Ă  l'Ă©cole de la IIIe RĂ©publique. Il a cette passion-lĂ , et elle est honorable, je ne la lui reproche pas mes quatre grands-parents Ă©taient instituteurs ! Notre face-Ă -face Ă©tait donc un peu une piĂšce de théùtre oĂč chacun jouait son rĂŽle d'adversaire prĂ©sumĂ©. Et j'ai Ă©tĂ© rĂ©ellement touchĂ©, je l'avoue, au fur et Ă  mesure du dialogue, par deux points qui suffisent Ă  la vĂ©ritĂ© de notre rencontre. Le premier, c'est une forme de patriotisme qu'aprĂšs tout je partage avec lui j'aime la France, son histoire – la RĂ©volution, la Commune, la RĂ©sistance, Mai 68 – en somme, la fameuse France des droits de l'homme telle qu'elle continue Ă  ĂȘtre vue Ă  l'Ă©tranger. Et je souffre de son Ă©tat actuel, dĂ©fensif et fatiguĂ©, de son manque d'inventivitĂ© en matiĂšre politique, comme je vois bien que Finkielkraut souffre aussi, mais pour des causes erronĂ©es, Ă  mon avis... Le second point de comprĂ©hension entre nous est le constat d'ĂȘtre dans un monde oĂč beaucoup de facteurs rendent les intellectuels mĂ©lancoliques. Notre diffĂ©rence tient Ă  ce qu'Alain Finkielkraut ne cesse de les chercher, alors que j'essaie, moi, de les combattre. Comment ?En m'intĂ©ressant aux rencontres amoureuses, aux petites expĂ©riences politiques, aux gens dont je suis heureux qu'ils existent, aux Ɠuvres d'art nouvelles. Il n'est pas vrai que la sociĂ©tĂ© soit stĂ©rile et vide, mĂȘme si je ne suis pas content du tour pris par les choses. C'est une question de rencontre. J'ai toujours l'impression que Finkielkraut limite exagĂ©rĂ©ment le champ possible de ses rencontres. “Contrairement Ă  ce que dit Finkielkraut,on rencontre avec ce qu'on est,et pas en faisant le vide en soi.” A votre propos, Alain Finkielkraut dit Pour n'exclure personne, il faudrait faire le vide en soi, se dĂ©pouiller de toute consistance, n'ĂȘtre rien d'autre, au bout du compte, que le geste mĂȘme de l'ouverture »...Mais je n'ai jamais dit qu'il ne fallait exclure personne il y a des ennemis ! Et contrairement Ă  ce que dit Finkielkraut, on rencontre avec ce qu'on est, et pas en faisant le vide en soi. Il m'aura au moins convaincu d'une chose le front idĂ©ologico-politique entre les hommes d'aujourd'hui n'est pas entre ceux qui ont une vision mĂ©lancolique du pays comme lui et ceux qui essaient d'en avoir une plus crĂ©atrice comme moi. Mais entre ceux qui trouvent excellent l'Ă©tat des choses prĂ©sent, qui en font la propagande et s'y sentent parfaitement Ă  l'aise, et les autres... N'y a-t-il pas aussi une autre forme de ligne de front » entre les gens qui renvoie aux paresses intellectuelles de chacun ?Nous parlions de l'ennemi extĂ©rieur », mais si vous voulez aborder l'ennemi intĂ©rieur », bien sĂ»r ! Beaucoup se barricadent dans l'ignorance de quantitĂ© de choses, ne veulent pas avoir Ă  connaĂźtre, ont la passion de l'ignorance », comme disait un de mes maĂźtres, Lacan. Dans Film socialisme, de Jean-Luc Godard, vous donnez une confĂ©rence devant... personne !C'est une allĂ©gorie... Jean-Luc Godard a mis longtemps Ă  m'avouer que son projet Ă©tait de me filmer comme ça. Il voulait donner Ă  cette sĂ©quence la signification que, dans ce bateau symbolisant la sociĂ©tĂ© de consommation, j'Ă©tais une figure dissidente et solitaire... Un auteur ou un philosophe peuvent-ils transformer votre existence ?Bien sĂ»r ! La personne qui a le plus changĂ© mon existence a Ă©tĂ© Sartre, auquel j'ai Ă©tĂ© trĂšs infidĂšle par la suite. En classe de terminale scientifique, j'avais l'intention de devenir inspecteur des eaux et forĂȘts. Mon avenir Ă©tait clair et tracĂ©. Et j'ai lu L'Imaginaire, puis Esquisse d'une thĂ©orie des Ă©motions, puis L'Etre et le nĂ©ant. Et je me suis rĂ©orientĂ© des sciences vers les lettres, c'Ă©tait une rencontre bouleversante. Quels artistes ont Ă©tĂ© des rencontres dĂ©terminantes pour vous ?Dans le domaine poĂ©tique, MallarmĂ© m'a appris que la puissance de l'art est suspendue Ă  la notion d'Ă©vĂ©nement penser et formaliser ce qui arrive en tant qu'il arrive et pas en tant qu'il est. En musique, Haydn m'a enseignĂ© qu'on pouvait crĂ©er des effets extraordinaires avec de trĂšs petits Ă©lĂ©ments, des cellules musicales restreintes et presque banales. Cela m'a habituĂ© Ă  chercher l'extraordinaire dans l'ordinaire. En peinture, Tintoret m'a montrĂ© comment un peintre pouvait saisir dans la monumentalitĂ© la plus affirmĂ©e le passage de quelque chose, en l'occurrence de l'esprit... Les Ă©poques privilĂ©gient certains types de rencontres. On ne parle plus guĂšre par exemple de la rencontre mystique. Qu'en pensez-vous ?Sainte ThĂ©rĂšse d'Avila ou saint Jean de la Croix sont dans la conviction profonde, qui tient lieu de rĂ©el, d'une fusion amoureuse et d'une rencontre absolue. Et je pense qu'il s'agit lĂ  d'authentiques rencontres, mĂȘme si je crois que, peut-ĂȘtre, Dieu n'existe pas. En revanche, introduire dans l'amour terrestre pareille conception – qui voudrait qu'on fusionne avec un archĂ©type idĂ©al – me semble pĂ©rilleux et nĂ©gatif. Cela provoque quelque chose que je n'aime pas beaucoup le culte d'une prĂ©tendue transcendance fĂ©minine, qu'on trouve dĂšs le romantisme allemand et qui s'est propagĂ© jusqu'aux surrĂ©alistes. La derniĂšre phrase du Faust de Goethe, l'Ă©ternel fĂ©minin nous mĂšne en haut », est un Ă©noncĂ© ce me semble trĂšs problĂ©matique. Il transpose l'ordre mystique dans un ordre terrestre qui lui est en partie rebelle. “Tout pousse Ă  une atomisation de la sociĂ©tĂ©composĂ©e de libres consommateursallant surtout chercher dans le marchĂ© globalles objets qui les intĂ©ressent.” Que pensez-vous d'une enquĂȘte rĂ©cente de la Fondation de France Ă©tablissant que quatre millions de Français souffrent de solitude ?Le paradigme du monde contemporain, c'est le consommateur. Sa cible, comme il le dit... Et les objets ne vous sortent pas de la solitude. Mais le marchĂ© n'a pas dĂ©truit la rencontre, il n'est pas si puissant que ça !Dieu merci ! Vous parlez Ă  un optimiste, je n'ai jamais pensĂ© que le marchĂ© avait dĂ©truit la sociabilitĂ©, cette vision catastrophiste appartient plutĂŽt Ă  feu mon confrĂšre Jean Baudrillard. Il existe des solidaritĂ©s, des rencontres, des productions artistiques, je ne suis pas du tout dans une vision nihiliste. Mais je vois que tout pousse Ă  une atomisation de la sociĂ©tĂ© composĂ©e de libres consommateurs allant surtout chercher dans le marchĂ© global les objets qui les intĂ©ressent. Donc, la rencontre est menacĂ©e ? Absolument. Sur le bateau de croisiĂšre de Film socialisme de Godard, il y avait quand mĂȘme trois mille personnes. Je peux vous dire qu'elles Ă©taient trĂšs seules. Photographies Thomas LaisnĂ© Philosophie Partager Contribuer Sur le mĂȘme thĂšme
Cessezde donner des conseils, en gĂ©nĂ©ral les gens vous en demandent mais font ce que leur cerveau leur dit de faire. 7. Ne pas se mĂȘler de la vie des autres et encore plus commererer . 8. Ne pas parlez de vos projets ,car cela vous concerne et l'avis des . Continuer la lecture. Dans la vie ,on peut-ĂȘtre discret : 1 bien choisir le ou les personnes Ă  qui se confier avec beaucoup de
AprĂšs une Ă©norme commucation derriĂšre l’artiste et la sortie de son tout premier single il vient de mettre en ligne cette nouvelle tuerie tant attendue par les mĂ©lomanes. Le titre MIKHI LANMA Mouna qui signifie en français je ne suis pas une petite personne, est un concept de la Web comĂ©dienne et technicienne radio Mari Gnagna Kampel . La version musicale dudit concept Ă  Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par l’artiste Ă  la voix suave de sa gĂ©nĂ©ration petit OustĂ© dans le but de conscientiser des gens qui se mĂȘlent de la vie des autres tout en les infligent une image qu’elles ne l’aient pas. On peut ĂȘtre riche mais avoir un comportement de petite personne et comme le contraire aussi peut se produire. Ce clip rĂ©alisĂ© par le BOUYA et enregistrĂ© chez l’un des meilleurs ingĂ©nieurs de son en Afrique Ahmed fofana est le fruit plusieurs semaines de travail intense. Cette sortie audiovisuel de MIKHI LANMA n’est que le dĂ©but de l’aventure entre KEMS PRODUCTION et PETIT OUSTÉ ayant pour objectif principal, faire rayonner la musique Guineenne Ă  travers la voix du jeunes Artiste PETIT OUSTÉ. HABIB Diallo pour Gnakry Tube Navigation de l’article
Helpcorrect the text content: J’ai beau essayĂ© de comprendre pourquoi certaines personne se mĂȘlent de ma vie, comme ci je suis leur propriĂ©tĂ© ,et je n’y parviens pas .
Dictionnaire des citationsIl n'y a que les mots qui comptent, – le reste n'est que bavardage. [ EugĂšne Ionesco ] Chaque citation exprime les opinions de son auteur et ne saurait engager Dicocitations. Nouvelles citations septembre 10, 2017 FrĂ©dĂ©rick JĂ©zĂ©gou Les gens ne se mĂȘlent pas de la vie des autres, les gens ne se mĂȘlent que de la vie des autres. Pierre BergĂ©Le Dico des citationsLes nouvelles citations← Ne te contente pas de lire un traitĂ© une seule fois, relis-le Ă  plusieurs reprises. Bien souvent, chaque nouvelle lecture permet Ă  notre attention ou a notre intelligence de capter quelque chose de diffĂ©rent. Une seule lecture, pour attentive et sĂ©rieuse qu’elle soit, ne saurait nous faire assimiler toute la substance d’un ouvrage, mĂȘme si elle est accompagnĂ©e des commentaires d’une personne gens se trompent sur les Ă©lecteurs du FN car ils refusent de se sentir coupables. Les Ă©lecteurs du FN fachos sont une minoritĂ©. La majeure partie a Ă©tĂ© abandonnĂ©e sur le bord de la route par les partis traditionnels. La responsabilitĂ© des partis de droite et de gauche est considĂ©rable. → © 2001- 2022 FrĂ©dĂ©ric JĂ©zĂ©gou - & Dicocitations SAS - DonnĂ©es personnelles - Plan du site - Mentions lĂ©gales La base de donnĂ©es des citations est la propriĂ©tĂ© exclusive de FrĂ©dĂ©ric JĂ©zĂ©gou producteur du contenu .
Dansla plupart des grandes villes, les gens ont l’art de ne pas se mĂȘler des affaires des autres. On recommande aux femmes, si jamais elles se font agresser, de ne jamais appeler au secours, il faut crier au feu. Si vous criez au secours, personne ne vient. Girafe-en-chaleur. Description : Cependant, ne me reste plus qu'Ă  espĂ©rer qu'aujourd'hui soit meilleur
Les personnalitĂ©s compliquĂ©es ont gĂ©nĂ©ralement une incapacitĂ© Ă  Ă©tablir des relations sociales et affectives fonctionnelles, respectueuses et stables. Si nous rencontrons l'une d'entre elles, il est important de connaĂźtre leurs traits les plus caractĂ©ristiques et comment les traiter. Ici, nous vous en disons y a des gens comme ça, compliquĂ©s et exigeants, qui ont un problĂšme pour chaque solution, une contradiction pour chaque preuve, et une tempĂȘte pour chaque moment de calme. Ce sont des irritables et des voleurs de paix intĂ©rieure, des personnalitĂ©s complexes qui aiment les discussions, qui Ă©puisent, fragilisent et qu’il faut apprendre Ă  gĂ©rer pour prĂ©server notre intĂ©gritĂ© mentale et d’entre nous aimeraient pouvoir amener ces types de profils dans notre bac “spam”, dans une dimension parallĂšle oĂč notre rĂ©alitĂ© la plus proche serait en sĂ©curitĂ© et intacte. Cependant, s’il y a une chose que nous savons tous, c’est que que ce soit dans notre famille, dans notre environnement de travail ou mĂȘme dans le groupe d’amis, il ne manque jamais ce type de personnes complexes avec qui nous sommes -presque- contraints en s’éloignant des gens compliquĂ©s, mĂȘme notre santĂ© s’amĂ©liore
Confucius a dit dans ses textes qu’il y a des gens qui semblent trouver une sorte de rĂ©compense en trouvant des fautes chez les autres. Cela peut devenir trĂšs invalidant si la personne qui pratique cette pratique est notre partenaire ou un pĂšre ou une mĂšre avec leurs enfants. La personnalitĂ© “compliquĂ©e”, entendue comme celle qui manifeste des comportements erratiques, inĂ©gaux, narcissiques, manipulateurs, et parfois mĂȘme psychologiquement agressifs, recĂšle en elle des nuances qu’il est nĂ©cessaire de connaĂźtre en de rendre le simple difficile cache un labyrinthe de problĂšmes Ă©motionnels qu’il nous sera trĂšs utile de gens compliquĂ©s ou la capacitĂ© de voir le monde du point de vue nĂ©gatifNous sommes tous compliquĂ©s Ă  notre façon. Chacun de nous a ces boules particuliĂšres logĂ©es dans l’esprit et le cƓur, oĂč les peurs se mĂȘlent aux insĂ©curitĂ©s, les frustrations aux angoisses. Cependant, la principale diffĂ©rence par rapport aux autres profils qui vivent du cĂŽtĂ© le plus extrĂȘme de la complexitĂ© est l’incapacitĂ© d’établir des relations sociales et affectives fonctionnelles, respectueuses et trait le plus Ă©vident de ces personnes est qu’elles prĂ©sentent une nette instabilitĂ© Ă©motionnelle. Quelque chose comme cela nous avertit sans aucun doute d’une sĂ©rie de problĂšmes sous-jacents qui expliquent cette rigiditĂ©, cette inflexibilitĂ© et cette tendance constante Ă  rechercher la faute des autres, Ă  exposer, Ă  rendre facile le difficile et Ă  s’enraciner dans le sous-sol de la personnes compliquĂ©es, et il est important de le garder Ă  l’esprit, peuvent souffrir de dysthymie trouble affectif de nature dĂ©pressive chronique ou mĂȘme d’un certain type de trouble de la personnalitĂ© qui, sans aucun doute, les empĂȘche de faire face quotidiennement et de maniĂšre significative Ă  les personnes qui composent leur environnement fois, et c’est ce dont parle Daniel Goleman dans son livre Intelligence Ă©motionnelle », lorsque nous traversons des situations de stress Ă©levĂ© et continu dans le temps, nous cessons de penser clairement, nous ne sommes pas capables de voir les prioritĂ©s et nous avons une tendance” Ă  voir les choses beaucoup plus compliquĂ©es qu’elles ne le sont en tout cela, nous entendons quelque chose d’aussi simple qu’évident les personnes difficiles et compliquĂ©es, celles avec qui il est parfois si difficile de vivre, peuvent cacher une sorte de problĂšme sous-jacent qui explique ce comportement. Parfois, ce sont des hommes ou des femmes qui ont besoin d’ part, nous pouvons nous aussi, Ă  un moment donnĂ©, vivre avec ce nuage sombre dans nos tĂȘtes, oĂč la vie, parfois, n’est pas terriblement compliquĂ©e, comme un puzzle avec des piĂšces manquantes, comme un jeu de tetris impossible Ă  intrapersonnelle et interpersonnelleSelon Howard Gardner, l’intelligence n’est pas qu’une, mais il y en a plusieurs. Il est le pĂšre de la thĂ©orie des intelligences multiples. Deux de ces intelligences sont l’Intrapersonnelle et l’Interpersonnelle. Le premier, en somme, fait rĂ©fĂ©rence Ă  la capacitĂ© que nous avons de nous plonger en nous-mĂȘmes, de connaĂźtre nos Ă©motions, nos sentiments. Pour savoir qui nous sommes et oĂč nous allons. La seconde, l’intelligence interpersonnelle, est la mĂȘme mais dans l’autre sens, c’est-Ă -dire connaĂźtre l’état des autres, comprendre leurs Ă©motions et ĂȘtre empathique et assertif avec notre environnement.“L’intelligence, ce que nous considĂ©rons comme des actions intelligentes, change au cours de l’histoire. L’intelligence n’est pas une substance dans la tĂȘte comme l’huile dans un rĂ©servoir d’huile. C’est une collection de potentialitĂ©s qui se complĂštent.” -Howard Gardner-A partir de cette thĂ©orie, il ne serait pas dĂ©raisonnable d’affirmer que les personnes compliquĂ©es auraient besoin de dĂ©velopper ces deux types d’intelligence. Pourquoi les deux ? Apprendre Ă  se connaĂźtre et ainsi connaĂźtre les autres. Les deux intelligences se nourrissent mutuellement. Selon cette thĂ©orie, nous avons tous des intelligences diffĂ©rentes, nous en dĂ©veloppons simplement certaines plus que d’autres. MĂȘme ainsi, tous peuvent ĂȘtre amĂ©liorĂ©s, de sorte que les personnes difficiles ont devant elles un chemin intĂ©ressant pour commencer Ă  voir la vie d’une maniĂšre plus intelligentes pour gĂ©rer les personnes difficilesAu vu de ce qui prĂ©cĂšde, nous savons dĂ©jĂ  qu’il convient en premier lieu d’ĂȘtre sensible Ă  ces comportements et de comprendre que les personnes compliquĂ©es peuvent traverser un moment personnel dĂ©licat. Cependant, et d’un autre cĂŽtĂ©, il y a aussi ceux qui ont chroniquĂ© leurs hobbies, leurs tours narcissiques et ce dĂ©sir cachĂ© de rendre la vie difficile aux autres. “La vĂ©ritĂ© est toujours simple, mais on y arrive gĂ©nĂ©ralement par le chemin le plus compliquĂ©â€ -George Sand- Si c’est le cas, s’il y a un profil avec ces mĂȘmes caractĂ©ristiques prĂšs de nous, la premiĂšre chose sur laquelle nous devons ĂȘtre clairs est la suivante nous ne pouvons pas changer leur façon d’ĂȘtre, mais nous pouvons changer la façon dont nous interagissons avec eux afin que leurs actions nous affectent moins. Nous vous expliquons clĂ©s pour garder le contrĂŽle avec des profils compliquĂ©sLa recommandation la plus Ă©vidente est la suivante mettre de la distance. Maintenant, nous ne parlons pas seulement de la “distance physique” – qui, comme nous le savons dĂ©jĂ , n’est pas toujours possible – nous faisons rĂ©fĂ©rence Ă  la nĂ©cessitĂ© d’établir des barriĂšres psychologiques et Ă©motionnelles. Un dĂ©fi complexe que nous pouvons rĂ©aliser avec ces clĂ©s Nous devons toujours communiquer avec assurance. Expliquez clairement ce que vous ressentez chaque fois que la personne difficile fait ou dit quelque chose qui vous touche, vous blesse ou vous agace. Vous devez mettre sur la table quels sont les effets de leurs actions. Il faut dĂ©tailler ce qu’on ne peut pas faire, ce qu’il ne faut pas rĂ©pĂ©ter. En mĂȘme temps, il convient de proposer des alternatives Ă  ses actions pour qu’il en tienne compte la prochaine fois ce serait bien si vous ne vous concentriez pas uniquement sur mes erreurs, si vous apportiez des solutions ou des propositions au lieu de critiques, tout irait ĂȘtre mieux. Je sais que vous pouvez le faire et je lui fais confiance. Enfin, il est Ă©galement trĂšs sage de toujours rester calme et de comprendre que s’emporter rendra la situation plus tendue. L’idĂ©al est de construire une barriĂšre de distance, un espace de sĂ©curitĂ©. Pour conclure, il y a des gens qui ont une tendance naturelle Ă  se compliquer la vie et la vie des autres. Soyons d’abord capables de comprendre leur optique et de sentir si derriĂšre eux il y a un type de problĂšme qui nĂ©cessite notre aide. Sinon, il n’y a pas d’autre choix que de dĂ©ployer nos parapluies Ă©motionnels pour nous protĂ©ger de leurs tempĂȘtes pourrait vous intĂ©resser ...
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les gens qui se mĂȘlent de la vie des autres