Dansle ciel blanc sous la forme d'une étoile noire ou juste là , sur mon épaule, viens ! Je suis fatigué que tu sois morte, fatigué de me heurter à ce putain de vide, - une citation de Mathias Malzieu . Citations Citations du Littré Apparais ! Dans le ciel blanc sous la forme d'une étoile noire ou juste là , sur mon épaule, viens ! Je suis fatigué que tu sois morte,
3 participantsAuteurMessageGaliAdmin Nombre de messages 360Localisation Havange - Entrange - Manom - LuxDate d'inscription 22/12/2008Sujet Une Ă©toile en plus dans le ciel... Jeu 29 Oct - 1445 Le 07 Octobre 2009 nous avons appris la disparition de NonoOn ne compter plus les victoires, ni les performances pour la jolie FlOow__ et sa si belle Norise du Faubourg, la vie ne fait pas de cadeaux pas mĂȘme aux meilleurs, la preuve ! On n'oubliera pas notre Nono, elle reste auprĂšs de nous dans les cĆurs de chacun et elle veille sur toi FlOow, soit forte on est tous et toutes avec toi !_________________Anas. Cl3m Nombre de messages 42Age 31Date d'inscription 02/01/2009Sujet Re Une Ă©toile en plus dans le ciel... Ven 27 Nov - 116 Les meilleurs partent en premier .... Nono <3 Naomie Nombre de messages 9Age 21Date d'inscription 21/11/2009Sujet Re Une Ă©toile en plus dans le ciel... Sam 16 Jan - 2211 On t'oublira pas Norise Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Une Ă©toile en plus dans le ciel... Une Ă©toile en plus dans le ciel... Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Verselâamour brĂ»lant Ă la terre ravie, Et, quand on est couchĂ© sur la vallĂ©e, on sent. Que la terre est nubile et dĂ©borde de sang ; Que son immense sein, soulevĂ© par une Ăąme, Est dâamour comme Dieu, de chair comme la femme, Et quâil renferme, gros de sĂšve et de rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons ! Et tout croĂźt
Les Ă©toiles accrochent des prĂ©noms aux branches des pommiersLes vergers dĂ©fient les plus belles couleurs des grandes sommes les crĂ©ateurs de la formes cavalent les rĂȘves Ă la poursuite de la moment oĂč je tâai approchĂ©e de traversĂ cause de lâouragan,Et le cyclone emportait nos paniers Ă vite petit homme aux jambes de gĂ©antAux paroles dâor qui enrichissent la pauvretĂ© apparente des poĂ©sie est lâorfĂšvrerie des damnĂ©sEt nous sommes les poĂštes du matin ⊠In Le pays derriĂšre le chagrin 1979, dans Le jardin des tempĂȘtes 2000, p 44, extrait NĂ© Ă TrĂ©guier, en Bretagne, en 1953, Yvon Le Men est un poĂšte dont la seule profession est la poĂ©sie, qui remplit toute sa vie avec lâĂ©criture, dans la solitude ; et la lecture de ses poĂšmes et de ceux des autres, dans le partage des rencontres, en Bretagne dâabord, puis Ă travers le monde. Un pari difficile, mais qui fait de lui un poĂšte libre. Ă lâimage dâun pĂšre cantonnier rassemblant les pierres du chemin pour en faire des voies de passage, Yvon Le Men rassemble les mots et, par le chemin de la poĂ©sie, devient Ă son tour passeur de poĂštes et dâĂ©crivains de tous pays. Il vit Ă Lannion, son port dâattache, dans les CĂŽtes-dâArmor, oĂč il crĂ©e en 1992 des rencontres quâil intitule Il fait un temps de poĂšme ». Avec Michel Le Bris, il anime le festival Ătonnants voyageurs » de Saint-Malo, y crĂ©ant en 1997 un espace-poĂ©sie. Dans La clef de la chapelle est au cafĂ© dâen face, un recueil de nouvelles publiĂ© en 1998, Yvon Le Men Ă©crit Ă propos de sa ville Je vis Ă Lannion, une petite ville au bord du monde. Et jâai besoin des hommes et jâai besoin des bois ; du marchĂ© du jeudi matin oĂč lâon se salue pour un oui et Ă cause dâun non, de la sterne qui mâinvite Ă partir lĂ oĂč il nây a personne, sur le chemin de halage ». En 2000 il publie Le jardin des tempĂȘtes, dans lequel il rĂ©capitule vingt-cinq annĂ©es de poĂ©sie, de 1971 Ă 1996, avec un choix de poĂšmes extraits de recueils souvent Ă©puisĂ©s. Il y explore tous les registres dans une quĂȘte de lâĂ©vidence dâun instant, dâune lumiĂšre ou dâune Ă©motion. Voici trois poĂšmes tirĂ©s de cette anthologie. PartirSâil vient sauras-tu le prendre le navire annoncĂ© par les cinq ocĂ©ansâŠSâil vient sauras-tu lâennoblir ce bateauDĂ©croche un croissant de luneEt voici une coque longue et fine comme une goĂ©letteTaille quelques rayons de soleilEt voilĂ un fier trois-mĂąts qui relĂšve la tĂȘteSaisis une Ă©toile filante en volEt tiens bon la barre aux cinq Ă©pines de lumiĂšreDĂ©chire la queue dâune comĂšteEt mets toutes voiles de feu dehorsVers le nordAu pays des couleurs bleues oĂč la neige est blancheOĂč les troupeaux de rennes traversent les vallĂ©es qui descendent dans les fjordsNous donnant la mer Ă la boucheVers le nord oĂč vagabondent les poĂ©siesQui nous entraĂźnent dans les pays du beau et du bon ⊠In Ă lâentrĂ©e du jour ,1984, poĂšme en cinq chants et un Ă©cho, dans Le jardin des tempĂȘtes, 2000, extrait Ou bien cet autre poĂšme, tirĂ© de Quand la riviĂšre se souvient de la source, un recueil publiĂ© en 1988. Il est des lieuxqui nous rencontrentsans nous chercherdes lieuxoĂč voyageaient ces bancs de lumiĂšreparmi les eaux et les arbresentre ta main et la mienne que tu prissoudaincomme la flamme prend dans la branchelâĂ©claircie prend dans le cielIl est des lieuxque les mots ont envie de gardercomme un prĂ©nom protĂšge un enfant de la fouleun petit nom prĂ©serve un amour de lâoubliet qui surgissent de ta mĂ©moirecomme lâodeur de lâherbetoujourssâĂ©chappe de la pluie In Quand la riviĂšre se souvient de la source, 1988, ibid p. 115 Ou encore ce poĂšme, tirĂ© de La patience des pierres, un recueil publiĂ© en 1995, et qui accorde une large place Ă la Bretagne, Ă ses paysages et Ă ses rĂȘves. Enez Aval Il y avaitces murs de pierreoĂč le vent se brisasur les rĂȘvesdes hommes venusde lâautre cĂŽtĂ©des siĂšcleset de la merIl y avait cette croixgrisepar temps de pluieblanche par temps de cielquand la lumiĂšre pose son poids de neigesur la terreIl y avait cette Ăźle ouverteau jour de lâĂ©quinoxeet la fleur fragile parmi le ventforteparmi la vie In La patience des pierres, 1995, ibid. p. 285 En 2004, il publie Un carrĂ© dâaube, recueil Ă©purĂ©, avec de nombreux poĂšmes qui ont la briĂšvetĂ© dâun haĂŻku, comme par exemple celui-ci Lâestuaire est tendu / / comme un drap / entre deux rives Ou encore cet autre, dont le dĂ©pouillement est Ă©galement proche de lâĂ©pure. Seule la mer Ă©claire ton visage. Ton corps est dans un pull noir, un pantalon noir. Tes mains sont nues. Je suis prĂšs de toi, et tu ne bouges pas. Le matin est nuit est noire, si ce nâest le reflet de lâeau flottant contre la lune. Ă chaque coup de vague, tes yeux deviennent bleus. Il nây a de bruit que le vent. DâĂ©chos que des Ă©toiles. que je ne tâaurai pas donnĂ© la main, nous ne souffrirons pas. Ă lâaube, lâenfance sera rompue. Qui, le premier, sâest lancĂ© vers lâautre ?La mer, dans le bleu-gris du jour, sâestompe. Le matin, au fond de la baie, rĂ©veille les maisons, les mouettes dĂ©tachĂ©es du ciel. Tes cheveux coulent sous mes doigts. In Un carrĂ© dâaube, 2004, p. 27 Chambres dâĂ©cho, publiĂ© en 2008, est un recueil poignant de poĂšmes sur la mort, lâamour, lâabsence et le silence de lâĂȘtre aimĂ©. Des textes souvent proches du murmure. Le public nâest pas prĂšs dâoublier la lecture quâen a faite Denis PodalydĂšs le 11 mai 2008, pendant le festival Ătonnants voyageurs, tant lâĂ©motion Ă©tait grande. Nous avions la vieentre nouselle coulait entre les riveset nos brasque le temps prenait dans ses brascomme les rives prennent la riviĂšreles talusle chemincomme ton silence prend la paroleaujourdâhui In Chambres dâĂ©cho, 2008, p. 50 Depuis 1990, Yvon Le Men sâest engagĂ© Ă fond, avec son ami Michel Le Bris, dans lâaventure du festival Ătonnants voyageurs, qui rĂ©unit chaque annĂ©e pendant trois jours Ă Saint-Malo 200 Ă©crivains venus du monde entier et rassemble un public de prĂšs de 60 000 personnes. Ă partir de lâannĂ©e 2000, le festival se tient Ă©galement au Mali, Ă Bamako, oĂč dĂ©sormais lâexpĂ©rience se renouvelle tous les deux ans, avec le projet dâen faire un grand rendez-vous de la littĂ©rature africaine. Le poĂšme qui suit est extrait dâune Suite sur le Niger, Ă©crite au retour dâun sĂ©jour Ă Bamako, entre fĂ©vrier et mai 2003. De lâautre cĂŽtĂ© du fleuvecomme de lâautre cĂŽtĂ© de la meril y a un pays oĂč viventde lâautre cĂŽtĂ© de nos viesdes hommes qui nous habitaient dans les livres dâimageset dans nos peurscomme ma voisinela vieille Marie qui ne parlait que le bretonleur langue Ă©tait pleine de sonset manquait de disait-on pas Ă lâĂ©poqueque la vieille Marie baragouinaitcausait avec du pain et du vin dans la bouchecomme si cela Ă©tait possiblene rĂ©sumait-on pas les multiples langues de lâAfriqueĂ la seule expression de petit nĂšgrecomme si tous les noirs Ă©taient des lâautre cĂŽtĂ© du fleuvevit la famille du bozodu pĂȘcheur qui par sa pirogue nous le fait traverseret entre le bambara le français et le sourirenous naviguons. âŠDe lâautre cĂŽtĂ© du fleuvederriĂšre les roseauxsâĂ©loignent des silhouettes bleues ⊠In Besoin de poĂšme, 2006, p. 233-234, extraits En 2006, Yvon Le Men publie Besoin de poĂšme, qui se prĂ©sente comme une lettre adressĂ©e Ă son pĂšre, quâil perdit Ă lâĂąge de 12 ans. Regard dâun homme sur son passĂ©, ses premiers Ă©mois, ses blessures, ses rencontres avec ses trois pĂšres en poĂ©sie, EugĂšne Guillevic, Xavier Grall et Jean Malrieu, ses voyages. Un rĂ©cit qui mĂȘle sans cesse prose et poĂ©sie, et oĂč ses poĂšmes dialoguent avec ceux des poĂštes qui lâont marquĂ©. La mort nâest jamais loin, mais la vie lâemporte. Durant plus de deux ans, de 2006 Ă 2008, Yvon Le Men rĂ©dige une chronique poĂ©tique hebdomadaire pour le journal Ouest France, prĂ©sentant des poĂštes du monde entier. Il en tire une anthologie Le tour du monde en 80 poĂšmes, oĂč il partage avec le lecteur plus de trente annĂ©es de rencontres poĂ©tiques. Il porte Ă©galement une attention toute particuliĂšre aux plus jeunes, se rendant volontiers dans les Ă©coles pour travailler la poĂ©sie avec eux, animant des ateliers dâĂ©criture. Deux de ses livres sont consacrĂ©s Ă la jeunesse Ouvrez la porte aux loups 1994 et Douze mois et toi 2005. En dĂ©cembre 2007 le festival franchit cette fois lâocĂ©an pour se tenir en HaĂŻti, Ă Port-au-Prince. Mais la seconde Ă©dition fut empĂȘchĂ©e par le sĂ©isme de janvier 2010 et dut se dĂ©rouler Ă Saint-Malo. Sous le plafond des phrases nâaurait jamais vu le jour, Ă©crit Bruno Doucey dans la prĂ©sentation de ce recueil dont il est lâĂ©diteur, sans le sĂ©isme qui a ravagĂ© HaĂŻti le 12 janvier 2010. Ce jour-lĂ je partais rejoindre le festival Ătonnants voyageurs Ă Port-au-Prince oĂč je pensais retrouver Yvon Le Men. Mais comme moi, ce dernier Ă©tait restĂ© de lâautre cĂŽtĂ© de lâocĂ©an, valise en main, dans lâincendie des dĂ©pĂȘches et le fracas des solitudes. De Lannion, il sâinquiĂšte pour ses amis. Il Ă©crit alors au jeune poĂšte Bonel Auguste une lettre vibrante dâĂ©motions qui se termine par ses mots Je tâattends chez moi. Dans mon pays de pluie et dâarc-en-ciel. » Depuis, les deux hommes se sont retrouvĂ©s, en Bretagne et Ă HaĂŻti, oĂč furent Ă©crits la plupart de ces poĂšmes⊠Avec des mots simples, le poĂšte nous rappelle que des hommes rĂȘvent aussi des sĂ©ismes de la tendresse. » Yvon Le Men a dĂ©diĂ© Sous le plafond des phrases, publiĂ© en janvier 2013, Ă son ami haĂŻtien. Les maisons autour de sa maisonsont suspendues entre hier et demainla sienne a rĂ©sistĂ©comme nâa pas rĂ©sistĂ©le palais du PrĂ©sidentle tremblement de terrea prĂ©fĂ©rĂ© le peintre au chef dâĂtatle peintre des villes imaginairessuspendues entre ciel et terremais seulement sur la toilequi suspend le tempsle temps dâoublier que le palais du PrĂ©sident nâa pas Ă©tĂ© rebĂątila cathĂ©drale non plusbien sĂ»r il y a les tentes qui grouillentet les gens qui sâentassentles yeux plus vieux que leur Ăągebien sĂ»r il y a le cholĂ©raĂ©parpillĂ© parmi les enfantsqui viennent vers nous un sourire Ă la bouchebien sĂ»r il y a le manque de toutmais oĂč est le manque du manquesâil nâest dans les symboles ?imaginez lâĂlysĂ©e et Notre DameĂ terre pendant deux ansimaginer lâ villes du peintre ont tenu bonsur ses toilesil peint plus que jamaiset plus que jamais il dĂ©fie le temps ⊠In Sous le plafond des phrases, © Bruno Doucey, p. 50-51, extrait **** Pas de suicide en HaĂŻtidepuis longtempsdes drameslĂ -baspas de suicidesla viedâabordavant la mortqui tomba ce jour-lĂ par en dessous et sur des millierscomme une pluie de ballessur un champ de bataillequi rodecomme le brouillardentre deux crimesqui coule dans le grand fleuveArtibonitemais la viedâabordavant la mort ⊠Ibid. p 56-57, extrait **** Dimanche en poĂ©sieIls viennentplus nombreux que les livressâĂ©couter parler des livresĂ©couter parler les livresils viennentĂ la bibliothĂšque LâĂ©toile filantecomme on va sur la luneet mĂȘme dans la luneĂ©couter des histoiresen vers et en proseet contre touthistoirede changer de viede comprendre la sienne âŠdans ce pays de poĂštesoĂč les mots passent partoutet rĂ©sonnent comme les clefsdans les crĂąnes des prisonniersla veille du dernier jourpartout ils ouvrentsur lâici-bas et le lĂ -hautsur le bleu mĂȘme dans le noirils ouvrent les images aux mots quâelles fontdans nos imageset malgrĂ© le peu de livresqui sâappuient lâun contre lâautresur les Ă©tagĂšresde la bibliothĂšque LâĂ©toile filantemalgrĂ© leurs pages Ă©cornĂ©esleurs couvertures Ă©teintesleurs titres oubliĂ©sleur encre moisiemalgrĂ© leur fatigueles mots de leurs pagesveillent au grainde lumiĂšrequi sâallumeet rĂ©veille les rĂȘves endormissous les Ă©toiles filantes Ibid. extraits Bibliographie poĂ©tique sĂ©lective La patience des pierres suivi de LâĂ©chappĂ©e blanche, © Rougerie, 1995 Il fait un temps de poĂšme, anthologie, © Filigranes, tome 1, 1996 ; tome 2, 2013 LâĂ©cho de la lumiĂšre, © Rougerie, 1997 Le jardin des tempĂȘtes, choix de poĂšmes 1971-1996, © Flammarion, 2000 ; rééd. 2012 Un carrĂ© dâaube, © Rougerie, 2004 Besoin de poĂšme, Lettre Ă mon pĂšre, © Seuil, 2006 Chambres dâĂ©cho, © Rougerie, 2008 Le tour du monde en 80 poĂšmes, anthologie, © Flammarion, 2009 ; rééd. 2012 Ă louer chambre vide avec personne seule, © Rougerie, 2011 Sous le plafond des phrases, © Bruno Doucey, 2013 Internet Yvon Le Men sur le site Ătonnants voyageurs Lecture de Chambres dâĂ©cho par Denis PodalydĂšs sur le site Ătonnants voyageurs durĂ©e 30 minutes Contribution de Jacques DĂ©crĂ©au
TOP10 des citations ciel étoilé (de célébrités, de films ou d'internautes) et proverbes ciel étoilé classés par auteur, thématique, nationalité et par culture. Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases ciel étoilé, les plus grandes maximes ciel étoilé, les plus belles pensées ciel étoilé provenant d'extraits de livres, magazines, discours ou
Exposition - NU, dessins de vie, dessins de nous Dessin - Collage, Peinture, ExpositionïRieupeyroux 12240ïDu 17/06/2022 au 30/08/2022L'exposition rĂ©unit des dessins et peintures de plusieurs âĂ©lĂšvesâ de l'atelier de dessin avec modĂšles vivants de Patrick Laroche Ă Rieupeyroux. Entre sensualitĂ© et force d'expression, fusain, sanguine, ou en encre de chine, en noir et blanc ou en couleur, les possibilitĂ©s sont multiples presque infinies pour prĂ©senter un corps nu. La pratique du dessin de nu est une discipline artistique qui demande une grande concentration, une mĂ©ditation, une fusion Ă crĂ©er entre le modĂšle et soi-mĂȘme. Pour c'est un exercice sous-jacent pour entretenir l'agilitĂ© du regard, l'observation du rĂ©el, aiguiser l'oeil et la main, pour d'autres au contraire c'est une fin en soi. Comme une calligraphie mille fois rĂ©pĂ©tĂ©e mais oĂč une vĂ©ritable Ă©motion reste lĂ pour Ă©voquer la vie de ces corps. Venez Ă la rencontre de Carole Delord, Bertrand Derveloy, IrĂšne Fau, Liz Graham-Yooll, Sheila Jowers, Patrick Laroche, Patrick Noppe, GeneviĂšve Pleinecassagne, Aurore Ruel, Yves Saget, Martin, Virginie, et quelques autres Vers 19h45, aprĂšs le vernissage de l'exposition, nous vous invitons Ă continuer ensemble autour de grillades, salades et douceurs culinaires. La participation Ă©tant libre,[...]
Gregory une étoile de plus brille dans le ciel Greg-Un-Ange149. Description : Dans ce blog il y aura plein de photos de notre greg.Je vais retracer toute sa vie avec son
Une visite de Saint Nicolas / La nuit avant NoĂ«l est le poĂšme qui donna naissance au PĂšre NoĂ«l. Il fut Ă©crit par un pasteur new-yorkais en 1882, ClĂ©ment Clark Moore. Ainsi, le petit Papa du ciel » a une origine chrĂ©tienne ! Le pasteur met en scĂšne un PĂšre NoĂ«l entiĂšrement vĂȘtu de rouge, Saint Nicolas, assis dans un traineau tirĂ© par des rennes, avec un sac de jouets toujours plein, et des bas accrochĂ©s au-dessus de la cheminĂ©e dans lâattente des cadeaux. Ces images ont symbolisĂ© NoĂ«l pour des gĂ©nĂ©rations et des gĂ©nĂ©rations dâenfants⊠et le PĂšre NoĂ«l a progressivement pris la place de Saint Nicolas ! Lire aussi Comment Saint Nicolas a-t-il donnĂ© naissance au PĂšre NoĂ«l ? Dâabord publiĂ© anonymement dans un journal de lâEtat de New-York, ce poĂšme sĂ©duit immĂ©diatement lâimagination du public. A tel point que le premier vers Twas the night before Christmas », La nuit avant NoĂ«l, prend rapidement la place du titre original, Une visite de Saint Nicolas. Une visite de Saint Nicolas / La nuit avant NoĂ«l La nuit avant NoĂ«l, un peu avant minuit, A lâheure oĂč tout est calme, mĂȘme les souris. On avait pendu nos bas devant la cheminĂ©e, Pour que le PĂšre NoĂ«l les trouve dĂšs son arrivĂ©e. Blottis bien au chaud dans leurs petits lits, Les enfants sages sâĂ©taient dĂ©jĂ endormis. Maman et moi, dans nos chemises de nuit, Venions Ă peine de souffler la bougie, Quand, au dehors, un bruit de clochettes, Me fit sortir dâun coup de sous ma couette. Filant comme une flĂšche vers la fenĂȘtre, Je scrutais tout lĂ -haut le ciel Ă©toilĂ©. Au-dessus de la neige, la lune Ă©tincelante, Illuminait la nuit comme si câĂ©tait le jour. Je nâen crus pas mes yeux quand apparut au loin, Un traĂźneau et huit rennes pas plus gros que le poing, DirigĂ©s par un petit personnage enjouĂ© CâĂ©tait le PĂšre NoĂ«l je le savais. Ses coursiers volaient comme sâils avaient des ailes. Et lui chantait, afin de les encourager Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez, Furie et Fringuant ! En avant ComĂšte et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre ! Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur ! Au galop au galop mes amis ! Au triple galop ! » Pareils aux feuilles mortes, emportĂ©es par le vent, Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles , Les coursiers sâenvolĂšrent, jusquâau-dessus de ma tĂȘte, Avec le traĂźneau, les jouets et mĂȘme le PĂšre NoĂ«l. Peu aprĂšs jâentendis rĂ©sonner sur le toit Le piĂ©tinement fougueux de leurs petits sabots. Une fois la fenĂȘtre refermĂ©e, je me retournais, Juste quand le PĂšre NoĂ«l sortait de la cheminĂ©e. Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet, Etaient un peu salis par la cendre et la suie. JetĂ© sur son Ă©paule, un sac plein de jouets, Lui donnait lâair dâun bien curieux marchand. Il avait des joues roses, des fossettes charmantes, Un nez comme une cerise et des yeux pĂ©tillants, Une petite bouche qui souriait tout le temps, Et une trĂšs grande barbe dâun blanc vraiment immaculĂ©. De sa pipe allumĂ©e coincĂ©e entre ses dents, Montaient en tourbillons des volutes de fumĂ©e. Il avait le visage Ă©panoui, et son ventre tout rond Sautait quand il riait, comme un petit ballon. Il Ă©tait si dodu, si joufflu, cet espiĂšgle lutin, Que je me mis malgrĂ© moi Ă rire derriĂšre ma main. Mais dâun clin dâĆil et dâun signe de la tĂȘte, Il me fit comprendre que je ne risquais rien. Puis sans dire un mot, car il Ă©tait pressĂ©, Se hĂąta de remplir les bas, jusquâau dernier, Et me salua dâun doigt posĂ© sur lâaile du nez, Avant de disparaĂźtre dans la cheminĂ©e. Je lâentendis ensuite siffler son bel Ă©quipage. Ensemble ils sâenvolĂšrent comme une plume au vent. Avant de disparaĂźtre le PĂšre NoĂ«l cria Joyeux NoĂ«l Ă tous et Ă tous une bonne nuit ». Et vous, quâen pensez-vous ? Le PĂšre NoĂ«l est-il Saint Nicolas ? Venez en parler avec nous par chatâ ! Pour aller plus loin Comment Saint Nicolas a-t-il donnĂ© naissance au PĂšre NoĂ«l ? DâoĂč vient le PĂšre NoĂ«l ? OĂč est nĂ© le PĂšre NoĂ«l ? ET SI ON PARLAIT DE NOĂL ? VIENS CHAT'ER ! đ Vous aimez ce site ? Nous rĂ©alisons en ce moment une campagne de crowdfunding, aidez-nous
Dansle ciel de la RĂ©union tout bleu ĂŽ Roi des mers ta couleur nous illumine Ton Plumage blanc comme la Neige nous Ă©blouit Ton chant Ă©tincelant raisonne tel une musique ïŹne ĂŽ
Cette histoire est tirĂ©e du volume 1 des Histoires vraies du dedans dans le cadre des ateliers menĂ©s en 2015-2016 dans les centres pĂ©nitentiaires des Baumettes Ă Marseille et Toulon-La FarlĂšde, le centre de dĂ©tention de Tarascon et Ă la Valentine, dans lâĂ©tablissement pĂ©nitentiaire pour mineurs. [Axinte feuillette un recueil de poĂšmes dâEminescu] Comment dire, câest une histoire dâamour Ă©crite par le plus grand poĂšte de Roumanie, câest une des poĂ©sies les plus cĂ©lĂšbres. Il est question⊠Je sais pas⊠Une histoire dâamour, je mâen souviens mĂȘme plus⊠Je lâai apprise Ă lâĂ©cole⊠Bon, je le lis. Le poĂšte Mihai Eminescu 1850-1889. A fost ca niciodatÄ Il Ă©tait une fois, jadis, Jadis, il y a longtemps, Une fille des rois, des plus grands rois, Une fille comme le printemps. Elle Ă©tait seule avec ses parents Et belle parmi les belles, Comme la Vierge parmi les saints, La Lune sur le ciel. Dans lâombre imposante des voĂ»tes Elle marche lentement Vers la fenĂȘtre oĂč, toujours, HypĂ©rion attend. Elle regarde comme il brille Dans les hauteurs lointaines Sur les chemins toujours mouvants Des vaisseaux noirs il mĂšne. Aujourdâhui vu, demain revu â Et le dĂ©sir se lie ; HypĂ©rion aussi, il tombe Amoureux de la fille. La tĂȘte aux mains, elle rĂȘve et rĂȘve, Et agrandit sa peine⊠Ainsi, rĂȘvant toujours, de lui Sa tĂȘte, son Ăąme sont pleines LuceafÄrul, poĂšme de Mihai Eminescu, dans Poezii. Ed. Cartex, 1970, traduction Georges Pruteanu. En fait, câest de ça quâil est question, que LuceafÄrul, lâĂ©toile du matin se transforme en⊠en prince, et la jeune fille le regarde descendre de la voĂ»te cĂ©leste, et un jour il se transforme en prince. Le jeune homme est beau et blond, il ressemble Ă un beau VoĂŻĂ©vode et il y a le dĂ©but dâun dialogue entre LuceafÄrul et la jeune fille. Il lui promet beaucoup de belles choses, il lui explique que son pĂšre est le ciel et sa mĂšre est la mer, et il lemmĂšnera dans son palais. Oui, mais elle va refuser, elle lui dit quâelle est vivante et que lui, il est mort. Oui⊠finalement⊠elle aimait Ă©normĂ©ment son Ă©toile LuceafÄrul. Et pourtant elle Ă©tait consciente que ce nâest pas possible⊠que ça ne sera jamais possible avec LuceafÄrul. Et lui de son cĂŽtĂ©, il Ă©prouvait les mĂȘmes sentiments. Donc, câest lâhistoire dâun amour impossible⊠Une trĂšs belle histoire. Axinte, Tarascon 2016. Traduit du roumain par Laure Hinckel.
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une etoile de plus dans le ciel poeme